jueves, 14 de marzo de 2013

Le petit écolier




Le gouvernement socialiste a vu certains groupes de ses électeurs se retourner contre eux  à cause de certaines mesures menées.
D’abord, les fonctionnaires ayant toujours eu l’habitude de voter à gauche, et de l’autre côté, les enseignants.
Ces derniers toujours les plus touchés par les changements de gouvernement et les nombreuses coupes de budget ne sont pas du tout contents des dernieres décisions de la présidence d’Hollande.

            Le ministre de l’éducation, Vincent Peillon, avec l’approbation de François Hollande a publié la modification des horaires des écoliers. Ils n’auront plus le mercredi libre, maintenant, le mercredi sera aussi un jour de cours pour tous. Ce jour là sera rempli grâce à la diminution d’heures des autres jours de la semaine.
            Les nombreaux débats qui se sont crées à partir de la décision du président de la République de changer les horaires scolaires en vu d’une amélioration des résultat des enfants, a fait bouger terre et mer chez les professeurs.
Chez les parents les avis sont patagés. Certains, d’accord avec la décision du gouvernement, comprennent aussi l’opinion des enseignants. Quelques parents sont eux même professeurs. Les débats sont ouverts. Et les rues ouvertes à toutes les manifestations contre ces changements des horaires d’école.

            L’état de démocratie dans lequel on vit nous laisse la liberté de donner notre avis sur tout ce qui se passe, sur tout ce qui nous touche, nous interesse ou nous préoccupe. De cette manière, donc, chacun est libre de donner son avis sur le thème. Mais, en laissant la voix principal aux enseignants, qui sont, en soit, les vrais touchés par l’important changement qui bouleversera leurs vies quotidiennes.
           
            Et en fin, les écoliers, auxquels jamais on ne demande leur avis, ne les croyants pas capables de prendre des décisions. Certes, ils sont petits mais c’est aussi leur rythme d’école qui est « en jeux ». Parce que si ces nouveaux cours matinaux du mercredi empêchent Sophie d’aller à ses cours de dance classique, Michelle d’étudier espagnol avec María, ou encore Nicolas de rester tranquille à la maison avec ses trois grands chiens, je ne suis pas sûr qu’ils vont vouloir d’un tel changement. Il ne nous reste qu’à leur demander, et les prendre, au moins cette fois-ci, en compte.