jueves, 14 de marzo de 2013

Le petit écolier




Le gouvernement socialiste a vu certains groupes de ses électeurs se retourner contre eux  à cause de certaines mesures menées.
D’abord, les fonctionnaires ayant toujours eu l’habitude de voter à gauche, et de l’autre côté, les enseignants.
Ces derniers toujours les plus touchés par les changements de gouvernement et les nombreuses coupes de budget ne sont pas du tout contents des dernieres décisions de la présidence d’Hollande.

            Le ministre de l’éducation, Vincent Peillon, avec l’approbation de François Hollande a publié la modification des horaires des écoliers. Ils n’auront plus le mercredi libre, maintenant, le mercredi sera aussi un jour de cours pour tous. Ce jour là sera rempli grâce à la diminution d’heures des autres jours de la semaine.
            Les nombreaux débats qui se sont crées à partir de la décision du président de la République de changer les horaires scolaires en vu d’une amélioration des résultat des enfants, a fait bouger terre et mer chez les professeurs.
Chez les parents les avis sont patagés. Certains, d’accord avec la décision du gouvernement, comprennent aussi l’opinion des enseignants. Quelques parents sont eux même professeurs. Les débats sont ouverts. Et les rues ouvertes à toutes les manifestations contre ces changements des horaires d’école.

            L’état de démocratie dans lequel on vit nous laisse la liberté de donner notre avis sur tout ce qui se passe, sur tout ce qui nous touche, nous interesse ou nous préoccupe. De cette manière, donc, chacun est libre de donner son avis sur le thème. Mais, en laissant la voix principal aux enseignants, qui sont, en soit, les vrais touchés par l’important changement qui bouleversera leurs vies quotidiennes.
           
            Et en fin, les écoliers, auxquels jamais on ne demande leur avis, ne les croyants pas capables de prendre des décisions. Certes, ils sont petits mais c’est aussi leur rythme d’école qui est « en jeux ». Parce que si ces nouveaux cours matinaux du mercredi empêchent Sophie d’aller à ses cours de dance classique, Michelle d’étudier espagnol avec María, ou encore Nicolas de rester tranquille à la maison avec ses trois grands chiens, je ne suis pas sûr qu’ils vont vouloir d’un tel changement. Il ne nous reste qu’à leur demander, et les prendre, au moins cette fois-ci, en compte.

viernes, 22 de febrero de 2013

La vacance des vacances


Chaque fin de semestre les enfants n’attendent qu’à être en vacances et tranquilles du rythme scolaire des fois pesant. Surtout les vacances d’été dont ils peuvent profiter du temps libre à consacrer dans ce qu’ils veulent, et aussi, ce que les parents veulent.



            Il y a certains "gamins" qui, grâce à la position économique souple de leurs parents peuvent se permettre d’assister à diverses activités culturelles et amusantes. Au même temps ces activités opèrent comme des révisions déjà apprises à l’école et pourquoi pas d’apprendre des nouvelles choses. Ce dernier fait contribuera, une fois retournés à l’école, qu'ils soient les premiers de la classe. Au moins ils auront l’agréable sensation d’avoir déjà vu ce contenu.

            Beaucoup d’autres parents n’ont pas, malheureusement, la possibilité ni le temps d’offrir à leurs enfants ce type de dynamisme. Pour une raison ou une autre il ne faut pas laisser de côté les enfants durant la période de vacances estivales.
Il ne faut pas négliger les deux mois et quelque qui dure la pause d’été parce que les risques peuvent être nombreux. À part emmener les enfants à la plage et jouer avec le sable et les vagues, il faut passer du temps avec eux à fin de leur expliquer certains jeux de société ou de mémoire qui feront travailler leur cerveau en même temps qu'ils apprendront.
Selon les études réalisées pas des sociologues spécialisés dans l’enfance ainsi que experts pédagogues, les livrets d’études, toujours si complets, ne finissent pas leurs objectifs préconçus. Les experts conseillent diverses activités appropriées à chaque frange d’âge qui puissent être faisables ou bien à la maison ou bien ailleurs, car elles seront beaucoup plus économiques, et plus important encore, plus efficaces.
La raison pour laquelle les experts en pédagogie ne conseillent plus aux parents l’achat de ces livres d’activités qui jamais se finissent.

            Les deux longs mois (certainement pour beaucoup de parents) des vacances estivales peuvent provoquer une certaine perte, ou plutôt à l’appel des experts un oublié momentané des connaissances acquises pour l’enfant. C’est pourtant nécessaire de faire travailler l’"éponge" du cerveau enfantin pour que celui-ci ne perde aucune de ses énormes facultés d’assimilation.
Ce réfléchissement en forme d’activité, de jeu, ou de sortie vont faire le boulot essentiel de réviser. De cette manière l'élève se sentira beaucoup plus à l’aise et en confiance à la rentrée. C’est terminé les préoccupations de revenir en cours avec les copains. Maintenant les copains seront plus amis que jamais. 
Des amis comme des cochons.



sábado, 9 de febrero de 2013

Fru fru fruuu

"Erase una vez un hombre que pronunciaba mal ciertas letras al hablar.
La gente en general se reía de él, le decían que hablaba como un castor "shoooy el sheeeñor cahhhstor".
Pero él confiaba en sus posibilidades.
No tenía amigos pero al cabo del tiempo que iba montando en responsabilidades y le empezaron a salir los amigüitos por todos los lados. Ya a nadie le importaba su manera de hablar.
Para él, su manera de hablar resultaba el detalle perfecto para distraer la atención y así evitar que la gente se diera cuenta de que era un inepto completo, a parte de apriovechado."



¿Cuándo fue vuestra última entrevista de trabajo? Ya…
Y por curiosidad, ¿cuántos años de experiencia os pidieron? Ya…
¿Cuántos idiomas?
Y ellos, la empresa por su parte ¿cuánto dinero y qué condiciones laborales os ofrecía?
Bueno no sigo, que nos ponemos a llorar.


Muchos no habréis tenido una oferta de trabajo en bastante tiempo. Pero entre los que sí, sabemos la cantidad de cosas que piden, la polivalencia que se debe de ejercer para luego ofrecer una mierda de condiciones. Piden dos años de trabajo en el sector, cuando no piden cinco, así como manejar los idiomas anglosajones como si del primer ministro inglés se tratara.

Y el problema estriba en que si nadie te da la oportunidad de ejercer un trabajo, de crecer y aprender de él de una manera recíproca, claro, directamente estás fuera del mercado de trabajo. Duro.
Además que para lo que van a pagar, por 40 horas trabajando como un mamón y pidiéndote ser trilingüe y todo eso por el módico precio de 4,5 euros la hora. Genial, denme dos. Pero dos ostias para desaparecer de esta sociedad de mierda que maltrata tantísimo a su futuro, nosotros, los jóvenes.

España experimenta una tasa de paro juvenil a la par que Grecia, 56%. Un gran porcentaje de esos jóvenes tienen estudios de alto grado, máster y demás.

Mientras tanto los que se creen gobernantes no hacen más que robar de donde nos quieren hacer creer que no hay.
Mientras tanto las multinacionales y grandes empresas echan a la calle a centenares de trabajadores para poder ganar más, haciéndonos creer que tienen pérdidas.
Mientras tanto el presidente de ese estado de pandereta llamado España no es que ya no sepa hablar inglés perfectamente, es que habla mal hasta su propia lengua materna. Tócate los pies.
Esto es una estafa y cada día estoy más de mala ostia y menos ansiosa de volver.



Omenaldia




Orain dela bi urte eta hilabete batzuk Barakaldotik Baionara etorri nintzela. Arrazoia pixkat bitxia da, baina egia esan gaur egun ez dut erabaki horretaz damutzen, ene bizitokia bilakatu dut Lapurdiko kapitala, eta apartamendu txiki honetatik ene sua.

Lehenengo hilabeteak ez ziren oso dibertigarriak, inor ezagutu gabe eta lanik gabe orduan motel motel joaten ziren. Azaroan ikusi nuen Aek bat zegoela herrian eta hara joan nintzen nire euskera hobetzeko nahietan, baina gehienbat jende ezagutzeko gogoekin.
Hala izan zen, ene izena eman nuen, esan beharra nahi modu traketsan hitz egin nuen, urteak euskara erabili gabe geratu baitzen ene burmuinean. Ezer larri.
Aste horretan hasi eta aste horretan izugarrizko integrazio eta familia bat ginelaren sentimendua.



Ah! Ahantzi aitzin, zein izan zen ene harridura nire herriko mutil bat ikusi nuenean Aek-n. Azkenean bera izan zen nire ikasturte horren erakaslea. Euskal Herria txikia baldin bada, imajina ezazue Baiona... Guztiok ezagutzen dugu elkar.

Ikaragarri ondo pasatzen genituen klaseak eta urte horretatik aurrera ene klasekide gehienak Aek-ko irakasle bilakatu dira, eta horrek poztasun handia sortzen nau. Esan nahi du euskalduntze prozesua funtzionatzen duela eta jendeak jarraitzen duela besteei euskara pasatzeko nahiekin. Oso sentimendu polita da.

Guzti hau atera da atzoko Baionako gau eskolako ikasleei egindako omenaldiagatik. Momentutxo alaia eta emotiboa bizi genuen. Jakelineri, orain dela 40 urte gau eskolan aritzen den agure adoretsuari egin zioten gau eskolako permanenteek opari berezi bat, bere ibilbide nekaezina eta jarraitua ikasle guztiei erakusteko. Nola lan egiten eta plazerra euskararekin lotuz hizkuntz ikarragarri hau ikastea posiblea dela, eta ez hori bakarrik! Berarekin bizitzea, noski, posiblea dela.



Nik ez dut euskara ikasteari (ene ustez) inoiz utziko, edozein hizkuntza bezala, ikaskuntza ez baita inoiz amaitzen. Hori egitera adore ematen dizuet, ez utzi, eutsi euskarari!

sábado, 2 de febrero de 2013


               
            L’actualité nait toute seule. Ce sont les nouvelles qui sont créées par les journalistes. Les gatekeapers décident qui est nouvelle d’actualité ou quoi n’arrive pas à ce statut.
Après tout ce travail réalisé par les journalistes, c’est le tour des lecteurs plus au moins habitués à les lire et ainsi continuent la longue chaîne humaine qui compose les strates de la société.

                Avant les journalistes pouvaient être autant rédacteurs que lecteurs. Les lecteurs ne pouvaient être que ça. Dans l’actualité et grâce à Internet les rôles de ceux deux-là se confondent.
L’information est partout, et presque sans nous apercevoir on « bouffe » des donnés sans arrêt. Consciemment, et du point de vue du journalisme, malgré mon manque de boulot spécifique dans le domaine, je regarde l’actualité à la télé, je la lis dans les journaux et sur Internet et je l’écoute à la radio.
En étant dans un endroit qui n’est pas mon lieu de naissance, la sensibilité que je vais avoir pour capter une nouvelle ou une autre sera différent à celle que aura un Français.

                Je trouve que c’est vraiment important d’être au courant des informations les plus importantes de l’actualité régionale et internationale pour ainsi pouvoir se créer une opinion et faire une analyse de la réalité la plus précis possible. Sans connaître les événements qui  tout autour de nous on n’a pas des défenses pour faire face aux attaques massives des politiques. On va être des personnes sans aucun avis qu’on va tout croire.



                En réalité, ce n’est pas très important de savoir d’où on s’informe et on suit l’actualité, seulement il doit y avoir une condition sin equanon : qu’elle soit une information de qualité et éprouvée. Vaut mieux, comme dernier conseil, suivre les infos des divers moyens de communication, pour que l’idée que l’on fasse soit véridique.

Euskara maitia


La nécessité de législation pour la protection de la langue basque en France
Selon l’UNESCO une langue disparaît en moyenne toutes les deux semaines et si rien n'est fait, 90 % des langues vont probablement disparaître au cours de ce siècle. La langue basque peut s’y retrouver si la France ne ratifie pas la Charte des Langues Régionales et en créant.
La construction de l’état français, d’un point de vue politique et philosophique, est basée sur l’égalité de tous les citoyens. Les révolutionnaires français imposaient leur centralisme, leur égalité pour tous et pour toutes en créant une discrimination en faveur de langue unique de l’état, et essaient de faire disparaître toutes les cultures et les diverses langues.
C’est terme d’unité a une lecture d’un seul sens et cette politique fondatrice continue encore bien intériorisée.
Si on remonte le temps jusqu’au XIXème siècle dont le vieux français prend le statut de langue officielle du Royaume de France, on peut réaliser un parallèle avec la discrimination que subissaient le français vis-à-vis du latin, et celle qui exerce maintenant le français par rapport aux langues locales. Cela montre comment l’état au nom de l’unité et l’égalité impose le français comme la langue seule, unique et correcte à parler. Au détriment des autres qui se parlaient partout en France, c’est à ce moment-là qu’elles se trouvent en péril et peuvent même disparaître par le manque de protection.
Il est indéniable que les politiques ont le pouvoir de promouvoir ou de maltraiter une langue. Ce sont les mouvements politiques qui font qu’une langue ait un statut et des droits.

Le basque vulnérable
Le basque est considéré comme vulnérable dans sa classification de l’UNESCO mais pas en danger car elle est parlée en Espagne et protégée par des lois constitutionnelles. C’est grâce à cette protection par la loi que la langue basque dans la Communauté Autonome Basque expérimente un notable monté en termes tant d’utilisation comme en termes d’apprentissage. Le nombre de gens qui parlent basque dans la CAB a passé dans vingt ans de 30% à 41,1%. Au Pays Basque Nord dans le même période, le nombre a diminué de cinq points maintenant est au 21,4%.
L’année dernière l’Institut Culturel Basque qui travaille depuis 20 ans dans le but de promouvoir et soutenir la culture basque et surtout l’euskara, a mis en place une enquête à fin de connaître la situation de la langue basque sur le territoire du Pays Basque Nord. Les résultats exprimaient le manque d’activités en langue basque. Le faible résultat surtout sur la côte, Biarritz, Anglet, Bayonne, Boucau et Cambo reflète la réalité que vit aujourd’hui l’euskara au nord du Pays Basque. Dans la zone d’Hendaye et Saint-Jean-de-Luz, les habitants parlent ou connaissent la langue basque mais la plupart des activités culturelles disponibles, par ailleurs nombreuses, ne sont pas en Euskara.
Il est important de souligner que la plupart des nouveaux bascophones y habitent et cela rend difficile l’utilisation de l’euskara à cause de l’espace restreint. C’est une des raisons pour lesquelles la croissance de l’utilisation de la langue basque n’est pas équivalente au nombre des bascophones. Pour une institution comme l’Institut Culturel Basque il est très difficile de faire entendre son message et d’expliquer l’importance de chacun pour continuer à faire vivre une langue et la mettre en valeur.
L’euskera n’a pas le statut de langue officielle en  France dont elle ne reçoit pas beaucoup de subventions pour sa diffusion. L’ICB fonctionne avec très peu d’argent et pour faire les diagnostics, il est proposé à chaque ville de le faire, mais comme cela coute de l’argent cela n’intéresse pas.
Les bascophones du PBN se trouvent plutôt dans la tranche d’âge de plus de 65 ans. C’est évident que la société basque d’Iparralde est de plus en plus vieillissante au même temps que le taux de naissance est bas, tout cela montre la claire perte de locuteurs. Étant donné que les jeunes sont les futurs utilisateurs de la langue, cela devient nécessaire de donner à la langue basque un statut de langue comme elle a en Espagne et ainsi, motiver son utilisation dans tous les domaines de la société.
Ces données issues de l’Enquête Sociolinguistique qui est réalisée tous les dix ans, montrent que la seule promotion et divulgation de la langue d’une génération à une autre n’est pas suffisant pour sa survie. Il faut nécessairement une promotion légale et plus concrètement, une protection moyennant la loi.

Ratification de la Charte Européenne des Langues Régionales ?
La France a signé mais pas ratifié pour autant la Charte des langues régionales, ce qui lui vaut des reproches du Conseil économique et social des Nations Unies qui a, en 2008, « recommandé» à la France de le faire. Si le Gouvernement français décide de ratifier la carte et ainsi donner aux langues régionales le statut et la protection qu’elles méritent, il faut tenir en compte les mouvements à donner, « car un petit pas va supposer aucun pas, et un grand pas sera compliqué », explique Jakes Bortayrou, responsable d’AEK d’Iparralde. Ils devront faire un changement constitutionnel pour créer une protection juridique à ces langues pour qu’elles aient ce qui méritent : une reconnaissance officielle.
C’est pourtant, important et nécessaire une protection juridique de la langue basque parce que ce n’est pas suffisant pour une langue la mise en œuvre d’initiatives régionales de sauvegarde et de revitalisation. Il est urgent de concevoir des instruments normatifs spécifiques pour garantir la protection de l’euskara en France puisqu’elle fait partie du patrimoine mondial.


Situation des langues dans des autres pays d’Europe
Avoir des cultures différentes est toujours un plus, il ne faut pas le voir comme un problème. Toutes créent une synergie, chacune ne laisse pas de côté les autres et crée une culture plus vaste pour la personne.
Des autres états de l’Union Européenne vivent avec sa diversité culturelle, sans perdre pourtant son identité. C’est le cas du Royaume Uni, qui est composée de quatre pays, dont l’Ecosse, Gales, l’Angleterre et l’Irlande du Nord. Dans la Grande Bretagne les diverses langues sont aussi présentes. Les quatre langues celtiques sont le gallois, l’irlandais, le gaélique écossé et le cornique. 21% de la population de Gales sait parler le gallois.
En Espagne le système des autonomies est proclamé depuis l’année 1978. Certains de ces territoires autonomiques ont leur propre langue officielle acceptée par la Constitution en y figurant. Entre elles, se trouve l’euskara, fait que a beaucoup aidé à tenir vivante la langue.
Le Catalan ne se parle qu’en Catalogne, mais dans la Communauté Valencienne, Îles Baléares, une partie d’Aragon. Ainsi que dans des régions françaises et italiennes. Selon des données sociolinguistiques de 2008 le catalan est parlé par le 47,6% de la population catalane.
Dans la communauté de Galice, le galicien autre des langues co-officielles est parlé habituellement par 56,84% de la population galicienne, selon une étude de 2001, et elle est comprise par presque la totalité des habitants, 99%.

viernes, 11 de enero de 2013

Aburriendo al personal.

Llevo semana y media de un insoportable que no hay quién me aguante. Es el pariente, sobre todo, el que se lleva mi mala ostia, mis cambios de humos y moral como buena cancer que soy.

La semana que viene tengo exámenes, pero no creo que de pena a nadie, pues a mayoría estáis parecido.
La verdad que aunque a lo largo de mi vida haya hecho cientos de exámenes en diferentes lenguas, estos, por su específica dificultad me rayan más de lo normal.
Dudo mucho de que me los vay a sacar, aún así, me tengo que quedar con todo lo aprendido. Y sobre todo lo perder el norte, cosa que hago constantemente, porque mi objetivo primordial al hacer este diploma universitario es de mejorar mi francés, porque he decidido reconvertirme y cambiar de oficio. Ya que de periolista no tengo nada qué hacer.

Trás dos años de estar bastante perdida a nivel laboral, sin tener muy claro (por no decir ni puta idea) de lo que hacer con mi vida, he pasado al nivel de tenerlo bien claro y además de ello, estar encantada con la idea:  me voy a hacer profesora de francés.

Siempre me han gustado mucho los idiomas y como con éste me puse a vivir en 2009 y ví que nos llevábamos bien. Ahora que llevo 3 años (más este 2013) con él, creo que dedicarme a ello me encantaría, porque me parece una lengua preciosa y rica.

Esta chapa, para decir que estos putos exámenes que tengo me perturban y que no tengo que perder la moral, porque mi objetivo cuando me apunté era de mejorar el idioma y a parte de eso, estoy aprendiendo un montón.


Andar sin saber qué hacer con la vida, es en general, lo más normal del mundo. Pero las circunstancias y el pasar del tiempo acaban diciéndote qué es lo mejor y cuál es el camino por el que se puede uno meter para sacarse las castañas del fuego y dedicarse a lo que uno le gusta; punto que puede cambiar a lo largo de la vida porque ahora me gusta estó, ¿pero quién me asegura que de aquí a diez años me seguirá gustando? ¿Quién? Pues la puta vida, como siempre.

domingo, 6 de enero de 2013

Velo, bici, piripita!


La bicicleta: un medio de transporte diario

Dejar aparcados los vehículos motorizados y pasarnos a las bicicletas parece un hecho difícil pero que cada vez adquiere mayor forma.
En Europa la cultura de las dos ruedas está desde hace años bien asentada, tanto en las ciudades, por los numerosos carriles bici, como en las cabezas de sus ciudadanos, que se desplazan cotidianamente en sus ciclos. Además de esto, los ayuntamientos ofrecen numerosas posibilidades de alquilar bicicletas públicas y las tiendas especializadas que ofrecen bicis de primera y segunda mano que se encuentran por cualquier calle.
Ejemplos de ello son la ciudad de Ámsterdam que posee más bicicletas que personas, o la ciudad del norte de Francia, Estrasburgo, la villa gala con mayor número de kilómetros “ciclables” del país vecino. También sin desplazarnos tan al norte, la región francesa de Aquitania, posee un carril bici de más de quinientos kilómetros que navega al lado de la costa, pasa por las diferentes urbes del País Vasco francés, sube por las preciosas Landas y llega hasta la llamada “petit Paris”, la ciudad de Burdeos, Patrimonio de la Humanidad declarada por la UNESCO.
Ya nombrada, esa misma ciudad ha puesto en marcha desde febrero de 2010, un sistema de alquiler de bicicletas a un precio módico de un euro la jornada (si posees la tarjeta de tranvía, el alquiler puede ser mensual o anual con importantes descuentos).
La VCUB, nombre de la empresa francesa que ofrece más de 1.545 ciclos repartidos en 139 estaciones a lo largo y ancho de la ciudad bordelesa, todas ellas están comunicadas con las estaciones de tranvía, paradas de autobuses y puntos estratégicos o muy transitados, para conseguir que las conexiones en los desplazamientos sean excelentes y los ciudadanos dejen aparcado el automóvil o sólo lo utilicen para trayectos largos.

No hay porqué considerar el ciclismo como un deporte duro que sólo lo pueden practicar los deportistas más ejercitados, está al alcance de todos. Es más, el simple hecho de ir a hacer los recados en bicicleta, llevar al niño al colegio o ir al trabajo, es una doble actividad: haces deporte contribuyendo a una buena salud y ayudas al medio ambiente.
Bien es cierto que si la ciudad no está mínimamente homologada para aquellos que deseen hacer de la bicicleta su medio de transporte diario, las cosas se complican. Si queremos utilizar la calzada existe el riesgo de tener un accidente y optamos por utilizar las aceras, al ser el peatón el que posee la preferencia de paso, surgen los inconvenientes para una conducción tranquila y continuada del ciclo.
Es reseñable que los carriles bici que hay en ciertas ciudades son paseos alternativos, muchas veces conducen hacia los alrededores y no a puntos concretos y útiles de las urbes. No hay un objetivo concreto más que el placer de hacer bicicleta. La posibilidad del uso útil de la bici a lo largo de la ciudad no resulta adecuada por la localización de dichas vías.
Por otro lado, la contaminación ambiental y acústica, el exceso de tráfico o la sobrepoblación, acompañado de las pocas posibilidades de hacer cosas que sean beneficiosas tanto para nosotros como para nuestro entorno se hace difícil en ciertas ocasiones. Dentro de las voces de los ciudadanos organizados, salen a la palestra los ciclistas y los fans de las dos ruedas, que intentan concienciar a la población de que utilizar los ciclos nos beneficia a todos y mejora nuestra calidad de vida.
El ciclista tiene unas características diferentes a las de los vehículos y a las de los peatones. Aunque aproveche tanto las vías peatonales como las calzadas para sus desplazamientos.
Estudios estadounidenses han comprobado que estos puntos compartidos generan importantes accidentes, sobre todo en los utilizados entre viandantes y ciclistas, que son cinco veces más peligrosos que las carreteras.

Si bien el uso de la bicicleta contempla grandes avances en términos de bienestar social y personal, en nuestro país, el uso de ésta constituye un riesgo importante, especialmente en ciudades y carreteras, por la escasez de infraestructura específica. En la actualidad, la mayoría de las ciudades españolas no ofrecen unas buenas instalaciones para andar en bicicleta y son sólo los “más valientes” los que salen a la calle bajo el peligro de ser atropellados por un automovilista descuidado o prepotente, que no tiene la cultura de respetar a los ciclistas.
En Latinoamérica por ejemplo, existen dos países que destacan en materia del uso de la bicicleta, como Bogotá con más de 120 kilómetros de ciclo-vías por las que circulan alrededor de 2,2 millones de personas (para hacernos una idea es la tercera parte de la población de la ciudad colombiana). Río de Janeiro también ofrece 100 kilómetros de vías exclusivas para bicicletas y tiene para un futuro cercano, la creación de otros 150 kilómetros.
Además, en la ciudad brasileña, el estacionamiento de las bicicletas es muy sencillo gracias a los 3.600 locales preparados para ello.

Ventajas de la bicicleta sobre el vehículo
Este modo de transporte tiene múltiples ventajas respecto a otras formas de desplazarse como los vehículos particulares pues no producen emisiones de ningún tipo ayudando a no contaminar el aire de las ciudades. También se sabe que la bicicleta es el medio de transporte con mayor eficiencia energética.
Sacar la bici del trastero y comenzar a usarla es saludable gracias al ejercicio físico que se realiza al pedalear, de una manera fácil y conveniente integramos la actividad física al estilo de vida actual, lleno de estrés, prisas y poco tiempo para el cuidado de uno mismo.
Económicamente también es eficiente, los ciclos en sí y sus costos de mantenimiento son más baratos que los de los automóviles, incluso siendo un poco manitas nosotros mismos podemos arreglar un pinchazo o un freno estropeado comprando el material en una tienda especializada. “Siempre hay que llevar consigo un inflador y varios parches. Son importantes por si pinchas y no ocupan nada”, comenta David Rodríguez ex ciclista semi-profesional. Además, la infraestructura necesaria es barata en comparación con otros modos de transporte, la bicicleta necesita poco espacio, la puedes aparcar en cualquier lugar (recomendando atarla siempre con un buen candado para evitar sustos de robos), tanto es así, que llegar al trabajo o ir a recoger a nuestros pequeños se convierte en un trabajo rápido y eficaz, ahorras en tiempo de buscar un estacionamiento y en pagar el parking. “Al trabajo siempre que no llueve, voy en bicicleta, porque evitarse los atascos no se paga con dinero”, comenta Ruben Lafuente, socorrista de las piscinas de Sarriko. Una bicicleta aparcada ocupa aproximadamente un metro cuadrado, menos del 8% de lo que se requiere para un coche. “Desde que me compré una bicicleta y le puse la sillita para mi hijo, los paseos siempre son más divertidos y rápidos”, comenta Maritxu una nueva adepta de las bicis.
El velocípedo es un medio de transporte rápido en las áreas urbanas, frecuentemente el modo más rápido posible, porque nunca nos encontraremos con un atasco. Y aunque la velocidad de circulación de una bicicleta en áreas urbanas parezca limitada, generalmente es de 15 ó 25 km por hora, resultando ser a menudo, más veloz que la de los vehículos  en vías congestionadas o que posean mucho tránsito peatonal.
Muchas empresas conocen todos los puntos positivos que aportan las bicis y por ello apuestan por la utilización de las mismas. He ahí el éxito de las empresas de mensajería en bicicleta en grandes ciudades como Londres, Colonia, Nueva York y Barcelona demostrando la velocidad competitiva de la esta máquina en las áreas urbanas.

Nacimiento de la bici
Aunque la creación de la primera bicicleta con pedales se atribuye al escocés Macmillan Kirkpatrick, en el año 1839, prototipos de bicicletas ya se habían visto en ancianas civilizaciones egipcias y chinas. Pero será siglos antes, sobre el año 1490 que el boceto de una verdadera bicicleta se verá en la obra de Leonardo da Vinci “Codex Atlanticus”.
El auténtico creador, Macmillan nunca patentó su invento, con lo que 7 años depués, Gavin Dalzell, otro escocés, copió y difundió ampliamente el invento, siendo considerado durante cincuenta años como el inventor de la bicicleta. Hoy el Museo de Ciencias de Londres expone una copia del ciclo que creó Macmillan.
A fin de cuentas la verdadera historia de los ciclos comienza junto con muchos acontecimientos que marcaron un antes y un después en la historia de la humanidad, en París dos años después de la Revolución francesa, en 1790. Será el año en el que el conde de Sivrac inventará el "celerífero", al que también llamaron "caballo de ruedas".
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Posteriormente, en 1813, este celerífero sufrió una metamorfosis gracias al barón Karl Christian Ludwig Drais von Sauerbronn, de Alemania, que creó el vehículo de una sola vía, al que llamó "máquina andante", tatarabuela de la bicicleta y la motocicleta. Drais de Sauerbronn introdujo unos resortes debajo del sillín y después creó el manillar.
Esta "máquina andante", consistía en una especie de carrito de dos ruedas, colocadas una detrás de otra. La persona se mantenía sentada sobre una pequeña montura, colocada en el centro de un marco de madera. Para moverse, empujaba alternativamente con el pie izquierdo y el derecho hacia adelante. Con este impulso, el vehículo adquiría una velocidad casi idéntica a la de un coche. Los brazos descansaban sobre apoyabrazos de hierro, y las manos sostenían una vara de madera, unida a la rueda delantera, que giraba en la dirección hacia la cual quería dirigirse el conductor.
Esta máquina fue denominada "draisiana" en honor a su inventor y evolucionó con gran rapidez.


10 buenas razones para hacer bicicleta cotidianamente
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Preservo mi medio ambiente porque no contamino ni atmosférica ni sonoramente.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Participo a la lucha contra el cambio climático.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Soy libre en mis desplazamientos, paro donde y cuando quiero.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Disfruto de los transportes públicos ya que me permiten subir la bicicleta.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Redescubro mi ciudad cambiando de trayectos
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Pedaleo en familia asociando deporte y diversión
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Hace que esté en forma
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Gano en tiempo y en tranquilidad porque nunca tendré embotellamientos
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Puedo aparcar lo más cerca posible de mi obejtivo.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Ahorro dinero, porque disminuye mi compra de carburante, incluso si mi bici se estropea el arreglo no es caro o puedo hacerlo yo mismo.
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Diferetentes tipos de vías
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Carril bus tradicional: vía para automóviles públicos, como el autobús o taxi. Tiene una máximo de 50km/h. y se desaconseja su uso a los ciclistas.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Calzada tradicional: vía para uso de todos los vehículos motorizados. Desaconsejada a ciclistas.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Calzada verde: carril delimitado en la propia calzada, suele estar coloreada en verde o rojo. Pueden circular tanto bicicletas como motos. Hay una moderación de la velocidad máxima establecida en 30km/h.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Carril bus-bici: es un carril compartido entre vehículos públicos y bicicletas, lo que conlleva estar bien atento.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Carril bici: discurre también sobre la calzada y con su correspondiente delimitacion. La velocidad máxima es de 40km/h.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Ciclovía: está situado en una plataforma especial y consiste en un carriil exclusivamente para bicicletas. No tiene limitación de velocidad.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Acera bici: su uso es exclusivo para ciclistas y va sobre una plataforma como el anterior. La diferencia con la anterior es que la acera bici va incrustada en la propia acera y tendrán una delimitación de 30km/h.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Acera “verde”: es un carril compartido entre peatones y bicis, por tanto los ciclistas deben moderar su velocidad a 20km/h.
<!--[if !supportLists]-->-       <!--[endif]-->Acera tradicional: como su propio nombre indica es para peatones, aunque si las bicicletas lo utilizan será a una velocidad no superior de 10km/h, y la preferencia será siempre del peatón.