lunes, 12 de noviembre de 2012

Jusqu'au où?


QUESTIONS SUR L’ÉTHIQUE, LA MORALE ET LA DÉONTOLOGIE DANS LE DOMAINE JOURNALISTIQUE.

La chaîne américaine ABC vient d’annoncer sa décision d’arrêter de payer aux personnes qui sont au cœur de l’actualité pour avoir l’information de manière exclusive
C’est une bonne décision ou pure hypocrisie? Car, la chaîne a toujours été considérée de grande qualité et elle a dit d’elle même qu’elle est une chaîne si importante qu’elle peut trouver des informations en exclusive  quand elle veut. Donc, avant elle ne croyait pas dans ses possibilités et pour cela payer ces gens?
On risqué peut-être avec sa que la personne qui nous fournit l’information de l’événement gonfle à son intérêts les propres faits; et pour le media qui lui offre la quantité d’argent la plus grande? Ce n’est pas une inaccomplissement de la liberté d’information et de sa circulation, si on veut être les seuls à offrir cette information?
Payer quelqu’un pour réussir à avoir une information est journalistiquement correct?

Les chaînes publiques en étant de “tous”, car elles sont finances par les impôts des citoyens d’un pays, ont le ”devoir” d’offrir une pluralité des points de vue au publique. Elles ne sont pas sous la corde des restrictions qui peut provoquer le fait d’être privée et sous le pouvoir d’une entreprise avec une pensée spécifique.
L’Espagne a changé de Gouvernement cette année et avec ce changement d’idée politiques dans la Moncloa il y a eu une autre, oblige, dans la télévision publique espagnole TVE. Le PP (Partie Populaire, partie de droite) a viré à tout journaliste qui offrait une opinion, point de vue plus ouverte que celle du pouvoir en ce moment.
Ce n’est pas ce geste un pas en contre la démocratie en elle-même?
Si les journalistes sont les seuls à avoir un métier à haute responsabilité social qui n’est jamais subi ni à élection ni à nomination, comme est possible que le Gouvernement d’un pays vire des journalistes pour n’est pas être en totale concordance avec sa ligne idéologique?
Ainsi, chaque élection les journalistes qui travaillent dans un moyen de communication publique sont soumis à une possible perte de son emploi.
D’un autre côté, le présidente de TVE a été élu pareillement par le Gouvernement “au pif” entre ses amis, et la personne choisi a été Leopoldo González-Echenique. Il n’est pas journaliste et il n’a jamais travaillé dans aucun moyen de communication. Il a déjà travaillé dans le domaine d’économie dans mandant de José María Aznar.
Jusqu’à quel point est éthiquement correct que le directeur d’un moyen de communication ne soit pas choisi pour/entre/parmi des journalistes?

EITB est la chaîne publique basque et à chaque changement de lehendakari (veut dire président du Pays Basque en euskara) les travailleurs de ce moyen de communication sont aussi soumis à des changements dans l’éditorial et ils peuvent aussi perdre son poste de travail.
Quand circonstances comme celles-là arrivent ce n’est pas une négation de la démocratie, car le pouvoir à chaque fois décide sur les sujets à traiter?
La démocratie tremble si certains journalistes sont virés de leurs postes de travail justement pour offrir un point de vue différent à celle qui est officielle par de Gouvernement? Il n’y a plus de pluralité d’avis. 

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